Capitolo 15 :: soirée entre les deux partenaires

Pubblicato: 16-11-07 - Ultimo aggiornamento: 16-11-07

Commenti: coucou à tous.... Comme quoi le chantage ça marche... Plus de reviews que d'habitude.. Un gros merci à Cristina, RKever, Raori4ever, Grifter, Nanou et Nakite c'est à mon tour de remplir ma part du marché... J'espère que ce chapitre va vous plaire... C'est très guimauve, mais ça fait toujours plaisir... J'ai essayé de faire soft pour ne pas être dans les fics réservées aux majeurs... Promis les prochains chapitres auront plus d'action... ps je vais répéter ce que j'ai dit : plus vous me laisserez de review et plus je me dépecherais, car c'est une réelle motivation... LOL j'avais peur que ça plaise pas...et à très bientôt... bisous à tous...

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Le trajet en voiture s’est fait dans le silence. Kaori luttait contre sa robe qui dévoilait sa cuisse. Ryô luttait pour ne pas mater, il dut se concentrer sur la route. Son regard rencontra celui de la jeune femme, heureusement qu’ils étaient arrivés devant chez eux. Les deux partenaires ne parvenaient pas à se détacher de l’autre. Ils se regardèrent d’une façon différente, ce n’était pas Ryô qui regardait sa partenaire, mais Ryô qui regardait une belle femme. Au ralenti, leurs visages se rapprochèrent…quand ils furent interrompus par une voiture qui sortait de leur parking, et qui avait allumé les phares.  

La magie de l’instant fut brisée, Ryô gara la voiture. Il sortit de la voiture, et observa Kaori qui enlevait ses bas :  

- Que fais-tu ?  

- Je vais marcher pieds nus  

- Mais pourquoi ?  

- Bah parce que j’ai mal au pied…  

- Mais je suis là pour te porter …  

- Je suis tout à fait capable de marcher et…  

Kaori s’interrompit, quand elle rencontra une lueur dans le regard de Ryô, qui ne lui inspirait pas confiance. Il avait un sourire carnassier… Elle recula pendant que Ryô avançait… Puis elle lui balança ses chaussures en pleine figure et essaya de courir pour mettre de la distance… Elle ne voulait pas être une conquête… Finalement elle préférait ne pas avoir Ryô du tout, plutôt que de l’avoir pour une seule nuit.  

Ryô ne comprenait pas vraiment pourquoi elle prit peur… Et encore moins pourquoi elle courrait dans l’escalier. Il compta mentalement dans sa tête jusqu’à 10 puis se mit à sa poursuite… Il fallait bien pimenter un peu… Il se mit à monter les escaliers 4 par 4, et rattrapa Kaori devant la porte de leur appartement, elle n’avait pas les clés… Elle était au bord de la crise de nerf, des larmes avaient fait couler son maquillage. Ryô se rapprocha doucement d’elle, et la prit dans ses bras. Il posa ses mains autour de sa taille, sans les descendre davantage. Il lui murmura à l’oreille :  

- Ne t’inquiètes pas je ne ferais rien que tu puisses regretter…  

Il sentit que la jeune femme était tendue. Il ouvrit la porte d’une main, tout en gardant Kaori dans ses bras, et la fit doucement entrer… elle resta plantée dans le salon, mal à l’aise. Ryô lui proposa de boire quelque chose, et elle répondit du whisky. Malgré sa surprise Ryô lui servit la boisson, et se décida à mettre de la musique (NDA pour voir si vous suivez… quand il y a de la musique la conscience de Kaori est inhibée…).  

Kaori se sentit mieux, malgré la brulure qu’avait causé la gorgée de l’alcool. Elle se rapprocha de Ryô :  

- Je suis désolée, j’ai… heu je ne saurais pas expliquer… J’ai eu peur  

- De moi ?  

- Heu répondit-elle en rougissant un peu… De ce que je ressens pour toi…  

Face à autant de franchise, il ne savait pas quoi dire. Parler n’avait jamais été son fort, il était avant tout un homme d’action… Il regarda Kaori, il vit qu’elle le désirait autant que lui la voulait. Il soupira, puis étreignit Kaori :  

- Tu crois que c’est raisonnable…  

- On se posera la question demain…  

Personne ne pouvait les déranger, leurs visages pouvaient enfin se rapprocher. Ryô embrassait sa Kaori avec douceur, et elle répondait avidement… Ryô se libéra de cette étreinte. Ils avaient tous les deux le souffle coupé. Il pensait que ce n’était pas raisonnable d’aller plus loin ce soir, mais s’il en avait envie. Il voulait que Kaori lui appartienne, c’ était égoïste mais il ne supportait pas de la voir diné, aussi bien habillée avec un homme. Il essaya de trouver un stratagème pour que Kaori aille dormir sans céder à la luxure :  

- Kaori, tu te souviens que tu me dois quelque chose, pour t’avoir porté jusqu’à ton carrosse  

- Oui, le manque de désintéressement dit-elle suspicieusement  

- J’ai une idée, et c’est de bonne guerre  

- Je m’attends à tout…  

- Je voudrais une petite danse… Puisque tu travailles là-bas je pourrais avoir un numéro privé…  

- Quoi ? puis elle venait de comprendre son petit jeu… Ah d’accord pas de problème… Mais j’espère que tu as de l’argent….  

- Pardon ?  

- J’accepte, mais tu dois glisser des billets, comme un vrai cabaret…  

Ryô était sans voix, sa douce et innocente Kaori, était d’accord… C’était vraiment le monde à l’envers  

- Bon je vais me préparer… Occupe toi de la musique  

Kaori était parti dans la salle de bain… Elle se regarda dans le miroir : folle tu es complètement folle se dit-elle. Elle se remaquilla, et mit une petite jupe et un top, qu’elle n’avait jamais mis… Voici l’occasion idéale. Elle respira un grand coup, et se détendit quand elle entendit une musique douce. Ryô avait également tamisé la lumière et fermer les rideaux, pour éviter que d’autres profitent de son spectacle privé.  

Ryô était assis sur une chaise. Kaori s’avança doucement. Elle le regarda, puis fermât les yeux et commença sa danse. Elle ondulait le corps au rythme de la musique, puis commença à s’approcher de Ryô. Elle lui prit ses deux mains ; et les posa sur ses reins, tout en continuant à danser. Elle enleva son top, puis avec l’aide de Ryô elle fit tomber la jupe. Ryô commença à avoir des bouffées de chaleur. Il ne savait pas s’il fallait continuer ou pas. Kaori était maintenant assise sur lui, et lui murmura à l’oreille si ça lui plaisait…  

Ryô se devait d’agir… Quand Kaori se leva, il fit la même chose. Kaori le regarda surpris… Ryô :  

- Tu l’as cherché… Et sans rien dire Ryô emmena Kaori dans la seule chambre munie d’un lit...  

- Ma dette est payée ? dit-elle en souriant  

- Si on veut..  

Il déposa Kaori sur le lit, qui était en sous vêtement. Il commença à l’embrasser sur ses lèvres puis sur le reste de son corps. Elle poussa un léger gémissement. Il lui demanda :  

- Tu es sur c’est ce que tu veux ?  

- Certaine…  

Il savait que c’était la première fois pour elle. Pourtant elle était une élève très douée. Elle l’aida à anéantir la barrière de vêtements qui les séparaient. Elle caressa tous ses muscles avec de légers baisers. Elle était de plus en plus avide. Ne pouvant plus attendre, il la fit sienne. Quand il rentra en elle, elle poussa un léger gémissement, puis répondit à la cadence de Ryô. Au paroxysme de leur amour Ryô murmura à Kaori : je t’aime.  

Kaori était heureuse. Elle appartenait à Ryô, et lui avait avouée ses sentiments… Elle se blottit contre son torse et s’endormit. Ryô était également heureux, et se demandait pourquoi il n’avait pas fait ça plus tôt…  

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